L’ascension et la chute de Vice, l’entreprise de médias numériques qui a commencé comme un magazine punk à Montréal, offre un récit édifiant pour les entreprises médiatiques. En 2015, Disney était l’un des géants des médias traditionnels qui a jeté de l’argent sur Vice, le PDG Bob Iger souhaitant exploiter le cachet de l’entreprise auprès des jeunes. Iger a eu des discussions informelles avec le fondateur de Vice, Shane Smith, pour racheter l’entreprise pour plus de 3 milliards de dollars, mais l’accord ne s’est jamais concrétisé car Smith ne voulait pas vendre.
La valorisation de Vice a continué à s’envoler, atteignant 5,7 milliards de dollars en 2017 grâce à un investissement de 450 millions de dollars de TPG. Cependant, ces dernières années, la croissance de l’entreprise a marqué le pas, avec des objectifs de revenus manqués à plusieurs reprises et une rentabilité qui reste insaisissable. L’intérêt pour les start-ups déficitaires s’est émoussé avec la hausse des taux d’intérêt, laissant Vice en difficulté pour payer ses factures et conduisant au départ brutal de la PDG Nancy Dubuc la semaine dernière.
Vice a entamé un nouveau processus de vente cette année, avec des offres attendues prochainement, et James Murdoch, qui détient une participation dans l’entreprise, est impliqué dans les négociations pour une vente. Cependant, l’évaluation de la société en 2017 s’est accompagnée de conditions difficiles exigées par TPG, ce qui l’a rendue moins attrayante pour d’autres investisseurs. Bien que Vice ait diversifié ses sources de revenus, ses objectifs financiers se sont avérés insaisissables, avec un revenu d’environ 100 millions de dollars inférieur à son objectif de 700 millions de dollars l’année dernière.
Le récit édifiant de Vice met en lumière les difficultés à maintenir la croissance dans le secteur des médias numériques, qui a connu un nouveau creux au cours du mois dernier. D’autres entreprises de médias ont également été confrontées à des difficultés : le fondateur d’Ozy Media a été arrêté pour fraude et l’action de Buzzfeed a dégringolé après avoir initialement bondi à la suite de l’annonce des projets d’IA. La leçon à tirer pour les entreprises de médias est que, si des plans d’expansion ambitieux peuvent faire grimper les valorisations, elles ne doivent pas négliger les avantages potentiels d’une vente au sommet.
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